• La balade

    Jean profite d'un après-midi ensoleillé pour se balader avec Capucine et Cécile. Les jeux de la nuit précédente les ont laisser d'humeur coquine.

    La balade suit la crête de collines avant de descendre le long du cours de la rivière au bord de laquelle nous avons mangé hier soir. La promenade est agréable et nous parlons de tout, de rien et beaucoup de sexe. La marche et le soleil printanier aidant, nous avons remisé nos vestes et nos pulls dans nos sacs à dos. Nous sommes donc en T-shirt et les coins d’ombres ne manquent pas de poser des petits points de chair de poules sur nos peaux. Au soleil en revanche, c’est très agréable. Capucine se révèle être au moins aussi bavarde que Cécile et j’apprends vite tout un tas de choses sur les nuits ou les après-midis qu’elles ont passées ensemble. A l’écoute de leurs récits, je commence à avoir une érection qui me perturbe un peu pour marcher. Dans le feu de la discussion, je leur fais remarquer. Je m’aperçois aussitôt de mon erreur car Cécile est joueuse et j’aurais dû me douter qu’elle ferait tout pour faire monter mon excitation. Dans un virage du chemin, elle enlève son soutien-gorge et le remise dans son sac. Ses seins pointent fièrement sous le tissu de son haut et elle frotte rapidement les pointes pour les faire ressortir encore plus. Cela fait sourire Capucine qui reproduit son geste. Regardant rapidement de droite et de gauche, Cécile profite de notre solitude pour me révéler ses seins en me disant que je pourrais bientôt les toucher. L’effet au niveau de mon sexe est immédiat et j’ai envie de les prendre dans mes mains. Cependant, Cécile joue et reprend sa route suivie de Capucine. Cette dernière se déhanche plus que nécessaire pour avancer devant moi. Ses fesses dans son jean oscillent de droite à gauche sous mon regard jusqu’au moment où nous rencontrons une famille avec trois enfants. Le jeu reprend de plus belle après les avoir croisés et Capucine propose de prendre un chemin qui remonte plus à pic mais qui est moins emprunté. Les premiers mètres sont difficiles mais une fois sur un faux-plat montant, nous reprenons une allure plus proche de celle que nous avions. Nous sommes maintenant en file indienne. Capucine a pris la tête de la procession et je suis le dernier. Elle bifurque à nouveau vers un chemin qui ressemble plus à une sente et au bout de quelques mètres nous sommes obligés de marcher à moitié recourbés. Nous arrivons dans une clairière où se trouve les ruines d’une ancienne maison de pierre. L’herbe de printemps est encore rase et un peu humide du brouillard qui a persisté jusqu’en milieu de matinée. Je ne m’imagine pas faire quelque chose dans l’herbe mais excité comme je le suis, je suivrai le mouvement. Les deux filles prétendent devoir uriner et font le tour de la ruine. Au bout de cinq minutes, je fais le tour de la ruine pour les trouver toutes les deux, le haut relevé au-dessus des seins et le pantalon ouvert avec chacune une main sur le pubis de l’autre et s’embrassant. Cécile qui guettait mon arrivée du coin de l’œil me fait signe de sa main qui caressait le dos de Capucine de les rejoindre.

    Je les embrasse tour à tour et les caresse doucement pendant qu’elles se frottent chacune leur sexe sur la cuisse de l’autre. Cécile me fait remarquer que je me plaignais récemment d’être à l’étroit dans mon boxer et que, alors que je peux laisser libre cours à mon excitation, je la garde bien serrée dans mon pantalon. Je libère mon sexe qui a sa splendeur des grands jours et Cécile commence à me le masturber. Son pantalon semble la gêner et elle le fait descendre sur ses chevilles. Elle en profite au passage pour descendre le mien et celui de Capucine. Elles frottent leurs poitrines au même rythme que leurs sexes pendant que leurs mains se battent pour s’octroyer mon pénis. De mon côté, je les caresse et je me frotte également à elles. La respiration de Capucine accélère et elle lâche plusieurs râles qui montrent son plaisir. Je stoppe net quand je vois un voyeur situé à l’orée du bois et qui est en train de se masturber devant notre spectacle. Je leur glisse l’information mais au lieu de s’arrêter, elles reprennent de plus belle et Cécile exagère même les cris de son plaisir. Elles lui jettent un œil de temps à autre alors qu’elles tentent de me faire bander à nouveau. Je ferme les yeux mais je n’y suis plus. J’essaye de regarder le spectacle qui s’offre à moi mais les scénarii les plus glauques se bousculent dans mes pensées. J’imagine ce voyeur nous tuer après les avoir violées toutes les deux et ce n’est pas ça qui va me remettre en érection. Je referme les yeux quand Capucine se met à genoux devant moi pour me sucer. Tout à coup, j’entends Cécile dire :

    « Contente-toi de mater et si on a envie que tu participes on te fera signe »

    J’ouvre les yeux et je vois l’homme reculer de quelques pas, son sexe toujours dans la main. Cécile passe derrière moi, m’assène deux claques sur chaque fesse et me dit :

    « Et toi, tu vas lui montrer comment tu baises bien »

     

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